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Teddy a rejoint l’équipe du Château Dauzac en 2017 et il est rapidement devenu indispensable au bon fonctionnement de la propriété. Passionné par son travail, découvrez le portrait de l’une des aides les plus précieuses de Dauzac.
Comment êtes-vous arrivé à Château Dauzac ?
J’ai d’abord travaillé en tant que peintre dans le bâtiment. Suite à une délocalisation de l’entreprise j’ai décidé de m’orienter vers quelque chose de nouveau qui me permettait de rester dans la région bordelaise. J’ai donc postulé à l’offre de peintre au Château Dauzac en 2017 et j’ai été engagé. Je suis ensuite peu à peu devenu agent de maintenance.
Pouvez-vous nous décrire votre quotidien au Château ?
Je n’ai pas de journée type, c’est ce que j’apprécie le plus dans mon travail. Je m’occupe de tellement de choses, de l’apiculture à la peinture en passant par l’électricité. Si je devais définir mon travail je dirais surtout que je suis un véritable couteau suisse. Mes journées sont tout sauf monotones et c’est ça qui me plaît.
Quelles sont les qualités nécessaires à votre poste ?
Je pense qui faut être adaptable, être prêt à répondre à n’importe quelle demande sur l’entretien de la propriété. Il ne faut pas avoir peur du changement ! Je pense qu’il faut également un minimum de suivi, j’ai beaucoup de tâches à effectuer en même temps tous les jours, il ne faut pas se laisser déborder, prioriser, sinon on fait tout sans rien faire.
Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans votre métier ?
Je l’ai déjà un peu expliqué mais la diversité. Je ne m’ennuie jamais, je fais des choses tellement différentes. Finalement ce qui me plaît le plus c’est de ne pas avoir de quotidien.
Est-ce que vous avez remarqué une évolution dans la manière dont vous travaillez, dans les engagements que vous prenez en tant qu’agent de maintenance ?
Je pense que le véritable changement est que j’ai énormément gagné en expérience dans des domaines très différents. Je m’adapte sans cesse aux recommandations environnementales, je m’adapte aux demandes de ma direction ainsi qu’aux nouvelles tâches qui arrivent quotidiennement.
Auriez-vous un souvenir mémorable ou une anecdote amusante à nous partager ?
Je pense que l’anecdote la plus marrante et surtout qui rejoint le point précédent sur l’expérience, c’est le jour où j’ai oublié pendant la récolte de miel mes bottes sur le rucher. J’ai appris à ne plus oublier mes bottes, ou plutôt les piqûres me l’ont appris.
Enfin quel est votre millésime préféré ?
Le millésime que j’apprécie le plus est Château Dauzac 2015. Mais je suis surtout un fervent amateur du Haut-Médoc.