Pourquoi avez-vous rejoint le Château Dauzac ?
On ne refuse pas la formidable opportunité de relancer un Grand Cru Classé de 1855… J’ai eu la chance, tout au long de ma carrière de travailler pour de grands groupes de vins, de diriger une Union de Coopératives et de créer ma propre entreprise. J’ai travaillé 16 ans aux États-Unis et 4 ans en Chine et je suis plus qu’heureux de relever ce nouveau défi.
Quelle est votre ambition pour Dauzac ?
Continuer à progresser parmi les meilleurs Grands Crus Classés du Médoc. Notre regard se porte plus que jamais sur la biodiversité, pour laquelle nous nous sommes engagés avec de nombreux projets. Nous allons naturellement poursuivre sur la voie de l’innovation, qui est le véritable ADN de Dauzac.
Quelles sont vos priorités d’actions ?
La renaissance de Château Dauzac a déjà été largement amorcée, grâce au formidable travail mené depuis une dizaine d’années. Plus concrètement, nos priorités restent avant tout la recherche de l’excellence pour l’ensemble de nos sélections parcellaires et la reconquête commerciale.