Philippe Roux, Directeur Technique
2 janvier 2018
# Les visages de Dauzac

C’est avec sa passion du vin et du terroir margalais que Philippe Roux, Directeur technique du Château Dauzac depuis 24 ans, nous parle de son expérience.

Dauzac en quelques mots

Château Dauzac bénéficie d’un terroir particulier et de ce « petit supplément d’âme » qui lui permet d’afficher une réelle personnalité. Au cœur d’un domaine de 120 hectares dont 50 dédiés à la vigne, nous cherchons à augmenter et préserver l’équilibre naturel de notre environnement. Nos abeilles, nos moutons, notre verger ainsi que notre prairie nous aident dans la culture de la vigne et contribuent à magnifier ce terroir unique. Nous produisons ainsi notre propre engrais pour nourrir nos sols et protégeons la faune utile. Développer notre biodiversité participe à la régulation et à l’enrichissement du vignoble.

Votre rôle à Dauzac

Mon rôle à Dauzac s’étend de la plantation jusqu’à la mise en bouteille du vin, en passant par le partage avec les clients de Dauzac. Il est essentiel de regrouper la vigne et le chai pour qu’il ait un lien entre la production du raisin et la création du vin. Cette harmonie entre les deux parties assure un résultat homogène dans nos millésimes. A côté de ce travail quotidien, le rôle du directeur technique c’est aussi d’avoir une vision à long terme pour mettre en place des projets et les faire aboutir.

Votre millésime préféré

Mon millésime préféré ?! C’est toujours un peu compliqué car tous les millésimes sont un peu comme mes bébés. On les fait avec amour, on y consacre beaucoup de temps, on s’inquiète quand la vigne risque de geler ou que la fleur ne se présente pas très bien… Néanmoins, je dirai les derniers millésimes. Car notre connaissance du terroir, l’utilisation de nouvelles techniques et le professionnalisme de notre équipe nous permet d’adapter notre travail aux millésimes. Mais si je devais citer un millésime, ce serait le 2005 car il se révèle aujourd’hui avec plus de 10 ans d’âge. Il a développé une belle maturité mais a encore la fougue de sa jeunesse avec une belle présence tannique. Sa minéralité puisée au plus profond de la terre lui donne une fraîcheur gourmande.

Château Dauzac bénéficie d’un terroir particulier et de ce « petit supplément d’âme » qui lui permet d’afficher une réelle personnalité. Au cœur d’un domaine de 120 hectares dont 50 dédiés à la vigne, nous cherchons à augmenter et préserver l’équilibre naturel de notre environnement. Nos abeilles, nos moutons, notre verger ainsi que notre prairie nous aident dans la culture de la vigne et contribuent à magnifier ce terroir unique. Nous produisons ainsi notre propre engrais pour nourrir nos sols et protégeons la faune utile. Développer notre biodiversité participe à la régulation et à l’enrichissement du vignoble.

Votre rôle à Dauzac

Mon rôle à Dauzac s’étend de la plantation jusqu’à la mise en bouteille du vin, en passant par le partage avec les clients de Dauzac. Il est essentiel de regrouper la vigne et le chai pour qu’il ait un lien entre la production du raisin et la création du vin. Cette harmonie entre les deux parties assure un résultat homogène dans nos millésimes. A côté de ce travail quotidien, le rôle du directeur technique c’est aussi d’avoir une vision à long terme pour mettre en place des projets et les faire aboutir.

Votre millésime préféré

Mon millésime préféré ?! C’est toujours un peu compliqué car tous les millésimes sont un peu comme mes bébés. On les fait avec amour, on y consacre beaucoup de temps, on s’inquiète quand la vigne risque de geler ou que la fleur ne se présente pas très bien… Néanmoins, je dirai les derniers millésimes. Car notre connaissance du terroir, l’utilisation de nouvelles techniques et le professionnalisme de notre équipe nous permet d’adapter notre travail aux millésimes. Mais si je devais citer un millésime, ce serait le 2005 car il se révèle aujourd’hui avec plus de 10 ans d’âge. Il a développé une belle maturité mais a encore la fougue de sa jeunesse avec une belle présence tannique. Sa minéralité puisée au plus profond de la terre lui donne une fraîcheur gourmande.

Comment qualifieriez-vous les millésimes 2015 et 2016 ?

2015 et 2016 sont deux très beaux millésimes avec des personnalités bien différentes ! Tous deux ont bénéficié de toutes les optimisations faites au château ces dernières années : cuves en bois, douelles transparentes, sélections intra-parcellaires …

2015 est très gourmand mais complexe à la fois avec beaucoup de rondeur. C’est un peu « le premier de la classe » tout en ayant ce côté pétillant de l’expression d’un terroir unique.

Le 16 a demandé plus de travail, de vigilance et de passion. C’est un vin qui a une belle fraîcheur riche et complexe. La précision de son équilibre et un toucher de bouche singulier de sa minéralité pure dessine un grand millésime.